Le Closet fait l’acquisition de son propre entrepôt en Seine-et-Marne
Le Closet, service de location de vêtements sous forme de box, acquiert son propre entrepôt en Seine-et-Marne et fait le choix de l’automatisation. Une étape importante pour l’entreprise en forte croissance qui tend à améliorer toujours plus la qualité de son service, la gestion des envois et la remise en stocks des habits retournés.
Miser sur l’automatisation pour accélérer la croissance
L’entreprise a fait, en juin dernier, l’acquisition de son propre entrepôt à Moissy-Cramayel, en Seine-et-Marne, au sein de l’Ecopôle de Sénart. Un emplacement de choix situé en plein cœur de la zone d’aménagement urbaine dédiée aux entreprises à impact écologique durable.
En doublant la superficie de son entrepôt (3 700m2, extensible à 10 000m2 en mezzanine), le service voit plus grand et vise d’ici 2027 la préparation de 20 000 commandes quotidiennes. Un objectif qu’elle compte notamment atteindre grâce à l’automatisation de certaines opérations qui tend à optimiser les délais, accélérer les envois et les remises en stocks.
La chaîne d’expédition mécanisée que le Closet vient d’acquérir, permet notamment aux vêtements d’être triés et transportés sur leur zone de stockage par un convoyeur intelligent. Stocké sur des rangs automatisés, chaque article possède désormais son propre emplacement enregistré dans le système, fluidifiant la préparation des commandes. Un logiciel optimise quant à lui le point de stockage pour une meilleure productivité lors de la préparation des closets. Une fois la commande effectuée, les vêtements et les accessoires sont déposés sur un convoyeur mécanisé puis pliés et envoyés dans une pochette réutilisable.
Un processus de retour renforcé
Ce nouveau lieu offre aussi plus d’espace à l’équipe pour soigner certaines étapes du processus de retour, notamment le nettoyage, véritable expertise du Closet. Chaque mois, ce sont ainsi plus de 60 000 habits et accessoires qui sont inspectés et remis à la location. Si 20% du flux présente un défaut au retour qui nécessite de passer à la retoucherie ou au détachage, 1% seulement, ne peut être remis en stock et est alors valorisé auprès de partenaires d’upcycling. Enfin, l’automatisation s’étend aussi au repassage avec tunnel automatique d’une capacité de 1 000 vêtements par heure.
La presse en parle : Actu.fr, Fashion Network, Supply Chain Magazine